Selim Mouzannar, une autre idée de la joaillerie...

Fils d'une famille de joailliers, c'est au sein du joyeux capharnaüm des vieux souks de Beyrouth que Selim Mouzannar grandit et façonne son empreinte créative puisant son inspiration dans cet enchevêtrement de couleurs, de sensations, de matières et de rencontres...

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Evoluant dans un environnement connexe aux conditions de son pays, le créateur s'attachera très vite à déceler et révéler tout méandre de beauté avec une certaine poésie. Selim Mouzannar n'hésite ainsi pas à exploiter la noblesse de matériaux irrévélés dans le domaine de la joaillerie en les accordant aux métaux les plus précieux et aux pierres les plus sophistiquées. Le bois épouse l'or et enfantent des diamants et des saphirs...

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"Tous les bijoux dégagent des formes qui devraient correspondre à une idée et des formes". Link, Beirut, Terra... loin des diktats et des normes qui régissent aujourd'hui le monde du luxe, les collections du créateur sont une évocation aux richesses humaines, terrestres et culturelles. Pour autant, Selim Mouzannar ne se cache pas d'avoir un jour pignon sur la Place Vendôme!

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Photos Selim Mouzannar - Tous droits réservés

Mal-Aimée, la présentation de la collection Automne-hiver 2011/12

Mal-Aimée pour un nom de marque, Frog Prince pour un nom de collection, des imprimés crapauds-libellules... Et pourtant, Léonie Hostettler et Marius Borgeaud n'en finissent plus d'attirer le regard des amoureux de la mode depuis la présentation de leur première collection en octobre dernier !

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Portée par l'aura feutrée des salons de l'Hôtel de Crillon, ambivalence et dualité conduisent cette collection Automne-hiver 2011/12 aux intonations Art Déco dévoilant des créations dont les coupes et découpes convoient littéralement les motifs et courbes des imprimés.

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Entre poésie et gothique, la collection de ce duo de créateurs se romance tel un conte de fée moderne narrant la vie d'une héroïne contemporaine aux multiples facettes s'amusant à se jouer des styles et à mixer les références...

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Veste queue-de-pie, salopette, body... Mal-Aimée époussette la désuétude de pièces oubliées en leur insufflant une certaine modernité dans l'approche des volumes et découpes et l'utilisation des coloris et matériaux.

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Des éclats de couleurs acides côtoient des teintes épicées... La tenue des jerseys, taffetas et cuirs épouse la fluidité de la soie et du coton dont l'assortiment confère une allure certaine et un certain confort aux tenues.

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Coco Mademoiselle... Les images du film de Joe Wright avec Keira Knightley en avant-première

Bien loin du tailleur de Gabrielle Chanel et des colliers de perles qu'affectionnait particulièrement la créatrice, Keira Knightley moulée dans une combinaison beige conduisant une moto assortie dans les rues de Paris nous entraînant dans ses conquêtes offre une direction ultramoderne au conte parfumé de Coco Mademoiselle... En avant-première, les images du film de Joe Wright.

Exhibition, la soirée de lancement du magazine

Plus qu'un magazine, proche d'un livre d'art... Lancé pendant la semaine de la Haute Couture en janvier dernier à Paris chez Colette, le magazine Exhibition est né de l'imaginaire d'une rencontre de trois personnes : Gaël Hugo, Boris Ovini et Edwin Sberro.

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Edition annuelle, le magazine invite des artistes de divers horizons à s'approprier une thématique unique. Le premier numéro s'attaque à un objet iconique et intemporel : le rouge à lèvres. La bouche de Kelly Brook photographiée par Richard Burbridge, une création pâtissière imaginée par Pierre Hermé, des portraits de make-up artists (Tom Pécheux, Nicolas Degennes, Elis Faas) qui s'expriment sur leur outil de travail... des visions artistiques singulières et diversifiées !

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Son édition limitée à 5 000 exemplaires et son format de beau livre, en font un objet d'autant plus convoité...

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Amaya Arzuaga, le défilé Automne-hiver 2011/12

Lady Gaga a déjà été conquise par Amaya Arzuaga... et se pavanait dans une des créations de la collection Printemps 2011 que la créatrice présentait en octobre dernier à Paris. Comme Thierry Mugler, pour qui la chanteuse défilait pendant la semaine du Prêt-à-porter à Paris, Amaya Arzuaga s'approprie des lignes graphiques identifiables par le style.

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Si la première collection esquissait une perspective de l'univers créatif d'Amaya Arzuaga, la créatrice espagnole s'affirme à travers un travail qui se révèle dans une maîtrise géométrique, une qualité architecturale et une perception unique de la forme.

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Des formes ovoïdales, des plissés ondulants, des pliages papillonnants, des volumes enveloppants qu'ils soient sphériques ou linéaires... et des coloris chatoyants qui avaient manqué à cette première collection. Sur fond de décor blanc et lumineux de la Galerie Sud-Est du Grand Palais : bleu turquoise, rouge sanguin, orange luminescent subliment un équilibre atemporel qui oscille entre futurisme et réalisme.

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Cuir, laine, maille, jersey insufflent une tenue imperceptible à la construction structurée du vêtement...

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Un univers qui se consolide et un travail qui affiche un enthousiasme ainsi qu'une volonté de bien faire...

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Copyright - Photos Oliver Rust pour Mademoiselle - Tous droits réservés - Utilisation et reproduction interdites