Sur fond de musique apocalyptique, une émotion sombre s'est emparée des profondeurs de la Maison des Métallos. Entre une féminité gothique et une allure guerrière, le noir triomphe victorieusement dans la collection Printemps/été 2012 d'Harry Halim.
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La quatrième saison à Paris du créateur indonésien dévoile une persévérance ostensible vers une beauté sombre et une sensualité profondément provocatrice magnifiée à travers un travail aérien de maille inachevée et de découpe et de transparence intrépidement suggestives. Le jeu de superpositions n'y voulant rien cacher !
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Cuir, maille, résille sont travaillées drapées sur les corps pour une féminité exacerbée de ces amazones parées à toute éventualité du haut de leurs compensés pour vous captiver dans leurs filets ! Sauvage mais dessinée avec esprit, la collection présente une certaine profondeur dans la créativité.
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On ne sait combien d'heures auront suffi à cette robe crochetée... mais on sait d'ores et déjà que cette collection nous invite à suivre d'on ne peut plus près l'évolution artistique du jeune créateur...
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